Dans un esprit communiste, les ingénieurs de Russie développent de petites centrales nucléaires pour les camps et les villages du pays. Au même moment, afin de lutter contre l’avancement du capitalisme, l’Orbise met en place une milice qui tente tant bien que mal de résister. Cependant, lorsque toutes les centrales du pays commencent à dégager de la radioactivité, les habitants découvrent alors que les conceptions des ingénieurs étaient finalement défectueuses.
En plein conflit interne et externe, des troupes sont appelées à réparer les bâtiments pour endiguer le flux de radioactivité pendant que d’autres tentent de repousser l’envahisseur capitaliste.
La Mémé Oudgoul fait partie des volontaires tentant de rendre vivable les alentours des centrales. Mais étrangement, elle met beaucoup plus de temps à mourir que ses compagnons et attirent alors les rumeurs et les yeux du parti.
Kronauer, Vassilissa Marachvili et Iliouchenko ont déserté l’Orbise quelques mois plus tôt. Mais quand la femme du groupe est à l’agonie à cause des radiations, les deux hommes doivent s’arrêter au sovkhoze étoile rouge, lui aussi déserté, comme presque tout le reste du pays. Lorsqu’un train de soldats et de prisonniers s’arrêtent à l’orée de la forêt, non loin d’eux, la dernière solution est d’aller chercher de l’eau.
C’est ainsi que Kronauer se met en marche vers la forêt, à la recherche d’un village pour quémander de l’eau et de la nourriture. Lorsqu’il arrivera à Terminus radieux, il découvrira qu’un tout autre destin l’attend, lié à celui de Soloveï, le chef du village ainsi que de ces trois filles.
En toute franchise, j’ai eu énormément de mal à lire ce roman. J’ai bien failli arrêter de nombreuses fois car je n’arrivais pas à lire plus d’un chapitre à la fois, et cela en me forçant. J’ai trouvé le livre très décousu (c’est voulu, certes, mais n’abusons pas), les tirades de Soloveï longues et ennuyeuses à souhait et l’ambiance du roman ne m’a pas attiré du tout. Je suis donc bien content que ce livre m’ait été prêté par mon père, plutôt que de l’avoir acheté moi-même.