Zombie Island de David Wellington

zombie island wellington

J’ai hésité un moment à vous faire part de ce livre. Tout d’abord, car c’est un livre sur les zombies. Je vous arrête de suite, rien à voir avec la chanson de Maitre Gims, loin de là. Ensuite, si j’ai hésité, c’est également car ce livre est le premier d’une trilogie. Je me demandais donc si je devais vous faire ma chronique pour chaque tome ou bien pour la trilogie complète. Et puis je me suis dit au diable l’avarice, tu ne vas pas faire ton flemmard et tu vas nous parler de ce premier livre.

Donc, allons-y. Comme vous pouvez le voir sur la couverture, Zombie Island est le premier tome de la trilogie Zombie Story. Si je ne vous avais pas dit auparavant que c’était un livre sur les zombies, je pense que même les moins dégourdis d’entre vous l’auraient deviné. Qui dit zombies dit donc peu de survivants et donc survie. Classique. On aurait même pu dire, trop classique, vu et revu. Et pourtant, je dois vous dire que je n’ai pas été déçu du voyage.

En effet, imaginez des zombies dotés d’intelligence. Vous obtenez alors une armée macabre, ne ressentant ni la douleur, ni la faim, ni la fatigue, et avec un seul point faible, le cerveau. Ou plutôt, imaginez un général de l’armée zombie, une tête pensante capable de les diriger. Voilà ce que nous offre David Wellington dans ce premier tome. Et voilà ce qui a vraiment attiré mon attention.

Une autre chose qui pour moi révolutionne le genre et rend ce livre intéressant; pour une fois, les animaux ne sont pas seulement porteurs de l’infection mais sont eux aussi des morts-vivants. Wellington revisite ainsi Les Oiseaux d’Hitchcock en pigeons zombies. Après tout, pourquoi les animaux sont-ils toujours épargnés ? Une question que je me pose souvent. Certes, ils fournissent ainsi de la nourriture pour les rescapés et les zombies, mais quand-même.

Tout ça pour dire que si vous aimez les livres sur les zombies, c’est un livre à avoir. Chaque fin de chapitre vous amène au prochain, sans possibilité de vous en extirper, comme happés que vous êtes par une main aux doigts décharnés.

Vivement la suite non ?

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