Au Kenya, à l’aéroport de Mombasa, le contrôleur aérien Mbutu Ngasy est spectateur d’une chose étrange : deux hommes en charge de la sécurité des pistes se font attaquer par ce qui semble être des cannibales.
De l’autre côté de l’océan Atlantique, le lieutenant-colonel Anna Demilio de l’USAMRIID, en charge de la recherche sur les agents infectieux, met en garde le général Sherman sur les dangers d’un certain virus, le virus Morningstar, qui rendrait les porteurs violents et instables. Ce dernier est ensuite dépêché au canal de Suez afin d’empêcher la propagation d’un virus apparu en Afrique, dont les symptômes ressembleraient à celui du Morningstar.
Face au dédain dont font preuve ses supérieurs, Anna Demilio contacte la journaliste et présentatrice des informations de Channel Thirteen, Julie Ortiz, afin qu’elle avertisse la population des dangers du virus, sur le fait que même les Etats-Unis d’Amérique ne sont pas à l’abri et pire encore, que les morts reviennent à la vie.
Pendant que le général Sherman et ses hommes affrontent une menace terrible en essayant de protéger leur bastion et des civils réfugiés, les deux femmes se font enlever pour menace contre la sécurité nationale. Ils se retrouveront alors, tous autant qu’ils sont, coupés du monde. Chacun devra déployer toutes ses forces pour survivre dans cet univers hostile auquel ils font face, dans le seul but de survivre.
Je n’en suis pas à mon premier livre de zombies mais il y a dans ce premier tome de la trilogie du virus Morningstar un petit quelque chose qui le distingue particulièrement des autres et qui vous donne envie de lire la suite pour découvrir si oui ou non, les héros arriveront à s’en sortir.
Esthetique Du Vide 