Metro 2034

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Un an après les événements survenus à VDNKh, les Noirs ne sont qu’une légende parmi tant d’autres pour les habitants de la Sévastopolskaya, la dernière station habitée sur la ligne, luttant contre son lot de monstres au sud, une station inhabitée mais vivante au nord et les radiations à l’est.

Si ce n’était pour ses rivières souterraines et sa production d’électricité qui en découle, la Sévastopolskaya serait complètement délaissée par ses habitants et par la Hanse. Seulement voilà, la station fournit l’énergie nécessaire à une bonne partie de la circulaire de vivre aussi fastement qu’elle le souhaite. C’est pourquoi elle envoie régulièrement une caravane de vivres et de munitions pour aider la station plus au sud à lutter contre les différents maux qui la rongent. Mais cette fois-ci, elle n’arrive pas. Et le téléphone reliant les stations n’est plus utilisable. Ce qui ne veut dire qu’une chose, un malheur est arrivé.

Pire encore, les éclaireurs envoyés par le chef de la station et le colonel ne reviennent pas. Que faire ?

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Un nouvel homme se porte volontaire pour entrer en contact avec les disparus. Personne ne connaît réellement le brigadier, d’où il vient, son nom, son passé, ni même pourquoi il met ses talents hors pair de combattant au service de la Sévastopolskaya. Homère, un vieux conteur d’histoires sera amené à le découvrir en l’accompagnant vers une mort certaine. Pour seule information sur son compagnon de route il réussira à entendre furtivement un nom, Hunter.

Suite du fameux Metro 2033, Metro 2034 fait plutôt pâle figure face à son aîné. Lors de ma première lecture, je me souviens avoir été déçu. Le livre n’est pas mauvais mais l’histoire fait forcée, comme si Dmitry Glukhovsky voulait combler le vide laissé par Artyom. Et pour cause, ce dernier est même présent dans l’histoire, pour une raison quelconque, quand n’importe qui d’autre aurait fait l’affaire. Idem pour Hunter, pourquoi le retrouver ? Son histoire paraît certes plausible mais ne fait pas « fluide », si vous voyez ce que je veux dire. Et ça me dérange. Nous sommes bien loin de l’épopée de l’opus précédent. Mais une chose est encore possible, que l’histoire de Metro 2034 ne soient qu’un préambule pour le fameux Metro 2035. Mystère à éclaircir rapidement !

Cette entrée a été publiée le 1 avril 2018 à 14:38. Elle est classée dans Chronique littéraire et taguée , , , , , , , . Bookmarquez ce permalien. Suivre les commentaires de cet article par RSS.

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