Valentine est épileptique. Le mal la ronge au plus profond de son être et l’empêche de vivre une vie normale. C’est pourquoi ses parents et elle ont décidé de lui faire poursuivre sa scolarité dans une école spécialisée pour les épileptiques. Dans cet institut, tous les élèves et certains enseignements ont la même maladie.
Au début mal à l’aise, Valentine constate que pour une fois, elle n’est pas différente des autres. Jusqu’au moment où elle aperçoit dans la cours le garçon présent dans tous ses rêves sur le labyrinthe. Elle ne peut alors réprimer la crise qui l’assaille.
Mais dans cette école particulière, elle découvre que sa maladie est une force, un don qu’il faudra qu’elle maîtrise si elle veut comprendre la signification de ce fameux rêve, où les portes numérotées se succèdent.
Interception est un roman plutôt court mais pour le moins intéressant. J’aurais aimé plus de détails, plus d’explications, plus de profondeur. J’ai eu l’impression de survoler l’histoire en sautant des chapitres entiers, ce qui n’est pourtant pas le cas.
Ça n’en est pas pour autant un mauvais roman, mais je pense que malheureusement j’ai été habitué à beaucoup plus. Du coup cela m’a manqué avec Interception. Mais il a rempli à merveille son rôle de roman d’entre deux, après Harry Potter et avant une oeuvre d’Alain Damasio.
Marin Ledun, si jamais vous lisez un jour cet article, je suis à 100% avec vous pour encore plus détailler et approfondir Interception. D’ailleurs, merci papa pour le roman et pour la dédicace : « Et si certaines maladies étaient des dons pour changer le monde ?« .