Bourbon kid.
Il ne fallait rien de plus que ces deux mots pour me donner le sourire. Cela signifiait le retour du kid. Et depuis le temps, je n’attendais que ça !
Mais si, en plus du kid, l’iroquois pointe le bout de sa crête, alors je dis un gros OUI !
Alors ajoutez à cela Rodeo Rex et Elvis et vous avez le bouquet final du 14 juillet à Paris.
Très franchement, je sais que ça peut paraître cliché ici de dire que je ne veux pas expliquer le bouquin, mais pu#%*•, c’est le kid quoi !
On en est au cinquième, plus besoin d’expliquer ! On ajoute à ça le cultissime Iroquois du Psycho Killer et le topo de vente est fait. Emballé c’est pesé, on remballe !
Et pourtant, j’ai été un peu déçu. Pourquoi, me direz-vous ? Alors que j’encense le bouquin depuis tout à l’heure ? Tout simplement parce qu’il me manquait mes bonnes vieilles tueries dont j’avais l’habitude. Alors c’est glauque, c’est gore, ça castagne, rien à redire ! Mais j’en attendais plus. Plus de glauque, plus de tuerie, plus de gore, plus d’insultes, plus de blagues salaces, plus d’extrême. J’aimais ce côté vieille série B complètement assumée que j’ai moins retrouvé dans ce roman.
Ce n’est pas pour autant un mauvais livre. Oh que non ! Une distraction comme on les aime et un bonheur de tous les retrouver. J’attends impatiemment la suite !